Personnalisable
ECLAT – II
Référence : 155
Photographie abstraite de la série ECLAT par Eloi Ficat, photographe et vidéaste français. Un voyage dans un espace où la lumière et la matière s’harmonisent pour faire naître des photographies étonnantes.
Longueur : 100 cm
Hauteur : 70 cm
Largeur : 3 cm
Poids : 4 kg
Artiste : Eloi Ficat
Support : Papier Fine Art mat monté sur collage Aluminium
Dimensions : 70 x 100 cm
Encadrement : Artbox en chêne naturel sans verre
Garantie : Vendue avec certificat d’authenticité
Année : 2018
Tirage : 8 exemplaires signés et numérotés
N°2/8 : 1 350 €
N°3/8 : 1 500 €
N°4/8 : 1 700 €
N°5/8 : 1 900 €
N°6/8 : 2 100 €
N°7/8 : 2 300 €
N°8/8 : 2 500 €
Inspiration :
La série ECLAT est née du désir du photographe de vouloir explorer la matière dans une représentation inconnue. Ces images sont réalisées en proxy-photographie (moins proche que la macro) en pose longue. Tous les flux lumineux, les étincelles, les scintillements, les reflets sont produits grâce à un travail entre le mouvement l’eau et la lumière sans retouche, juste du développement. Les prises de vues sont réalisées en studio dans un aquarium. Eloi Ficat se sent beaucoup plus attiré par la photographie picturale, une photographie qui pourrait être une peinture.
«D’eau, d’air et de lumière, mes photographies interpellent par leur dimension métaphysique évoquant tant l’infiniment grand que l’infiniment petit. L’abstraction générée dans l’objectif sous l’œil de l’artiste sont autant de portes entrouvertes sur des univers fascinants et inconnus.»
Eloi Ficat
France
Éloi Ficat est un photographe et chef opérateur dans l’audiovisuel, il affirme sa passion de l’image à travers ces deux pratiques qu’il nourrit l’une de l’autre. En 2014, il réalise la série abstraite Luminary, qui sera sélectionnée au Vincennes Image Festival. Suivront les séries Outrenoir et Éclat, dans lesquelles il explore le mouvement de l’eau, créant ainsi des images irréelles et picturales. C’est ensuite vers la photographie de voyage qu’Éloi Ficat oriente son attrait pour le jeu entre réel et irréel, tout en conservant le caractère pictural qui fait l’essence de son travail. La simplicité de ses compositions et son travail minutieux de la lumière nous offrent une réalité sincère et esthétisée. Il réalise Confins, série minimaliste et onirique évoquant les frontières. Puis Terres Perdues, où sa sensibilité d’observateur se pose sur un peuple Massaï de Tanzanie et son territoire de vie.