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TOURBILLON

Référence : 136


6.000,00 TTCImposition sur la marge selon l’article 297-A du CGI

Toupie décorative en obsidienne et argent massif réalisée par Roland Daraspe, orfèvre et Maître d’Art. L’obsidienne est une roche vitreuse volcanique qui se forme à partir de coulées de lave très épaisses et riches en silice.

Longueur : 24 cm

Hauteur : 31 cm

Largeur : 24 cm

Poids : 5 kg

Disponible
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Catégorie : Objets décoratifs, Objets de vertu

Artiste : Roland Daraspe

Matériaux : Obsidienne et argent massif 925/1000e

L’obsidienne est une roche vitreuse volcanique composée de silice, que l’on retrouve dans de nombreuses régions volcaniques, y compris en France dans le Massif Central. Selon la légende aztèque, la Terre Mère aurait créé la lune et les étoiles avec une lame d’obsidienne. En lithothérapie, l’obsidienne est une pierre de protection contre les émotions négatives qui permet de retrouver le calme et la paix intérieure.

Poids : 5484 grammes (argent : 260 grammes)

Édition : 8 exemplaires (N°3/8)

Garantie : Signée et livrée avec un certificat d’authenticité

 Roland Daraspe


France

Roland Daraspe, orfèvre et Maître d’Art, est né en 1950. Il vit et travaille prés de Bordeaux.

Chaudronnier de formation puis mécanicien en aéronautique, verrier avec un artiste américain, et finalement orfèvre!
Roland Daraspe a fabriqué des bijoux puis poursuivi avec le métal puisqu’à l’origine il avait appris cette technique. Ensuite, il y a eu évolution naturelle, sans cesse remise en cause. L’incertitude de la création, mais la certitude d’être…

Le travail de Roland Daraspe est basé sur la création, et celle-ci passe par de multiples phases, de dessins, de certitudes, de doutes, de recherches, d’échecs les plus variés. Il sait qu’il doit accepter qu’avant de réaliser le projet qu’il veut beau, superbe, il passera par des phases d’austère labeur, de martèlement assourdissant au fil des jours. La certitude d’y arriver lui fait dépasser ces côtés répétitifs, astreignants. Pour lui, l’art est travail, et non concept. Avec le temps lui sont venues une force et une assurance irréductibles et il sait que le côté magique de la transformation entrera en jeu, que cela en deviendra euphorique. Les phases physiques sont incontournables, elles sont là pour être surmontées, la matière doit être domptée, il faut lui rentrer dedans, c’est un corps à corps, une bagarre où l’homme doit triompher. Il croit à la valeur thérapeutique du concret. Il aime qu’une pièce soit au point, bien finie, fonctionnelle, durable, agréable à l’œil et au toucher. L’orfèvrerie doit être comme cela.

Mais le plaisir des yeux ne lui suffit pas. Comme le violon, l’objet doit avoir une âme. Elle ne peut naître que de la rencontre du concept, de la matière et de la main de l’homme, qui avec sa sensibilité intégrera l’amour. Du façonnage exigeant du métal, il reste quelque chose de vibrant dans l’objet, une partie de soi y est, visible, présente. Et c’est ce que sentent et aiment ceux qui choisissent ses créations.